1991:
Voici les résultats d’une étude qui fut considérée comme l’une des plus importantes
et des plus bénéfiques pour l’Embiologe
(Cette expérimentation ressemble à celle réalisé 27 ans plus tôt avec les ondes PRIORE.) :
Université Libre de Bruxelles ULB « Influence d’un champ Embiologique sur le parasitisme des macrophages par TRYPANOSOMA CRUZI par le professeur B. VRAY ( voir liens)
Un protocole expérimentale strict et complet est établi par le professeur Vray., spécialiste de la maladie de Chagas. Monsieur Frey.G suggère une exposition des cultures au courants embiologiques de polarisation nord puis de polarisation sud.
Extrait du rapport publié par le Pr VRAY : « Pour chacune des expériences, après
24 heures, les cultures ont été fixées au méthanol, coloré au Giemsa et examinées
au microscope optique ( microscope Zeiss, modèle Universal). Pour chacune des cultures
( réalisées en double, 200 cellules ont été observées. On a déterminé; A, le pourcentage
de cellules parasitées ( contenant des amastigotes) et B, le nombre moyen d’amastigotes
par cellule parasitée. Chacune de ces valeurs est assortie de son erreur standard.
L’expérimentateur qui a effectué les comptages ignorait le code d’identification
des cultures. »
Conclusions : « Les résultats confirment les précédents. Ils suggèrent que la polarisation sud limite l’adhérence du parasite à la cellule hôte et/ou la pénétration du parasite. Par contre, elle ne semble pas affecter la multiplication intracellulaire. La seule exposition des macrophages semble modifier suffisamment leur membrane au point de diminuer nettement le pourcentage de cellules parasite. De même, l’exposition des parasites au pôle sud avant l’infection suffit à diminuer le pourcentage de cellules parasitées ( cf. Tableau 3a ) » B.Vray
Au vu de cette étude, il semble se confirmer que le courant embiologique agit favorablement
au niveau membranaire et de sa faculté à protéger la cellule des parasites ( renforcement
du pouvoir naturel de défense )
1991:
Centre Hospitalier XL 1050 Bruxelles -
«... Au vu des résultats intéressant obtenus par le professeur VRAY nous pouvons
raisonnablement concevoir que le champ électromagnétique émis puisse modifier la
polarité des membranes cellulaires et puisse éventuellement jouer un rôle bénéfique
dans : -
1991:
Mai 1991, premiers résultats des investigations cliniques avec les appareils COBEAM
001 et ALGIRO -
« J’ai eu l’occasion de revoir le 25 mai 1991 Madame.......de 28 ans présentant
une infection au virus HIV au stade IV et qui fut traitée du 6/3 au 28/3/1991 par
champs électromagnétiques émis par l’appareil COBEAM 001. Dans mon courrier du 21
avril ( 4 semaines après l’arrêt du traitement), je vous informais de l’effet favorable
du traitement sur base des éléments suivants : -
Actuellement, le 25 mai 1991 ( 2 mois après l’interruption du traitement ) l’état
général de la patiente s’est encore amélioré avec un performance status de 80. Elle
est retournée à son domicile, elle s’occupe de ses enfants en bas âge, fait le nettoyage
et fait elle-
Son typage lymphocytaire reste très altéré avec un rapport OKT4/OKT8 à 0,09... » Pr. Rodzinek J.J.
Octobre 1991 MEDIPHAR International 1601 Ruisbroek-
Sur un total de 125 patients : Le taux de réponse global ( de moyen à excellent), incluant les paramètres douleur, oedème, mobilisation ( pied et coude) ainsi que la mobilisation/flexion, mobilisation/rotation et la contracture musculaire pour l’arthrose cervicale représente plus de 89%
Dans une première approche marketing, l’ALGIRO fut principalement destiné aux kinésithérapeutes, aux hôpitaux et clinique ainsi qu’aux orthopédistes. Au début des années 90, on estime qu’il fut pratiqué près de 300 traitements par jour.
De nos jours, quelques appareils sont encore en fonction et sont utilisés par les thérapeutes avec beaucoup de satisfaction :
20 avril 2004
Hubert DUBOIS et Gerda OELBRANT :
« Documenté dès la fin de mes études ( 1987) sur les applications des champs magnétiques pulsés par des médecins traumatologues expérimentés et soucieux d’améliorer les performance thérapeutiques dans ma spécialité, j’acquis l’ALGIRO dès 1990. Cet outil physiothérapeutique me seconde encore aujourd’hui dans ma pratique professionnelle car il offre d’excellents résultats dans tous les cas de traumatologie récente. Pour conclure, j’appréhende de devoir renoncer à cette thérapeutique étonnante le jour où mon ALGIRO trépassera de son usage intensif » Dubois H.
« La science doit se tenir en garde constamment contre la supercherie et la crédulité.
Mais
il est de son devoir de ne pas rejeter les faits par cela seul qu’ils semblent extraordinaires
et qu’elle demeure impuissante à les expliquer »
Alexis
Carrel
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